La batterie Vara a été construite pour couvrir l’entrée au Kattegat, la région entre le Danemark, la Norvège et la Suède.
Chaque batterie a été équipée de quatre canons de 380mm.
L obus standard pour ces armes à feu pesait 800 kg avec une portée de 42 km.
Il y avait aussi des obus spéciaux qui pesaient seulement 495 kg et pour une portée de 55 km.
La première batterie a été à l’origine nommée Krooden, mais a été rebaptisée au nom d un Major-General qui avait été tué dans la Manche pendant la construction du site qui avait commencé en 1941.
L’année suivante,trois des canons avaient été montés dans une tourelle, Celle-ci pouvait coouvrir 360°.
Un bunker séparé a été construit pour le quatrième canon, avec un toit de béton armé de 450cm épais.
Le canon a été perdu quand le navire de transport portant le fut de 100 tonnes a été coulé dans le Kattegat par un avion Allié en février 1945.
Après la guerre, la batterie a été reprise par la Marine norvégienne et est restée opérationnelle jusqu’en 1962.
Aujourd’hui, un canon a été remis dans la batterie et fait partie d’u musée.
Cette batterie doit vraiment être visitée si vous êtes dans la région.
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Les tourelles de 38 cm de la batterie VARA avaient une portée de 55 kilomètres
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Le tube de 38 cm pèse à lui seul 107 tonnes
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L’encuvement de la tourelle n°2
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L’encuvement en béton de la tourelle n°2 est resté dans son état d’origine
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La trappe d’accès avant de la tourelle permet d’atteindre le mécanisme de pointage
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Le profil avant de la tourelle est bisauté pour faire rebondir les projectiles
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La tourelle n°2 de VARA monte toujours la garde face au SKagerrak
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La tourelle mesure 20 mètres de longueur sans le tube
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Vue du socle supportant la tourelle
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La tourelle vue depuis l’intérieur de l’encuvement en béton
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La tourelle affiche un poids total de 337 tonnes
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La Landturm de la pièce n°2 a conservé intact son blindage d’origine
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Les tourelles de 38 cm de la batterie VARA avaient une portée de 55 kilomètres
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Les tourelles de VARA ont 20 mètres de longueur – 27 mètres avec la volée du tube
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La volée du tube de la tourelle n°2 . On distingue clairement le rainurage de l’âme
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Détail de l’encuvement et du socle de la tourelle n°2
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Vue frontale de la tourelle n°2 depuis le remblai protégeant l’encuvement
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Le bunker de la tourelle n°1 vu depuis le toit de la casemate
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Le rail de roulement et les plaques de blindage protégeant le chemin de roulement
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Le pivot central de la tourelle
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L’arrière de la tourelle et la circulaire de roulement
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Le charriot supportant l’arrière de la tourelle, avec l’échelle d’accès
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Le charriot supportant l’arrière de la tourelle, qui permet la mise en rotation
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Détail des plaques de blindages couvrant le chemin de roulement de la tourelle
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Le charriot supportant l’arrière de la tourelle, avec l’échelle d’accès.
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Détail du socle et du pivot supportant la tourelle
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Un charriot à munitions devant la porte anti-feu d’une table de chargement
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Le corridor annulaire permettant la circulation des chariots à munitions autour de l’encuvement de la tourelle
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Tube du canon de 380 mm
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Plaque tournante devant l’entrée du bunker de la tourelle n°2
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Plaque tournante devant la porte blindée du bunker de la pièce n°2
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L’entrée à contrepente du poste de conduite de tir secondaire de la batterie
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Voies et plaque tournante pour desservir les magasin de munitions
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Cuve pour une pièce de Flak moyenne de la batterie
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L’un des magasins-bunkers de la batterie VARA
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Le bunker de la tourelle n°1, adossé à la casemate
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Détail des blocs de granit recouvrant le béton des magasins-bunkers
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L’un des six magasins-bunkers de la batterie VARA
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Prises d’air sur la façade arrière du bunker de la tourelle n°3
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L’entrée et la façade arrière du bunker de la tourelle n°3
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Emplacement d’un canon de DCA sur la superstructure de la tourelle
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Restes du filet de camouflage métallique sur le toit de la casemate n°1.
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Protection saillante au-dessus des bouches du système de ventilation
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Restes du filet de camouflage métallique sur le toit de la casemate n°1.
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Le pivot sur lequel reposait la tourelle
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L’encuvement de la tourelle n°3, ferraillée en 1950 par l’armée norvégienne
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Vue générale de deux tourelles
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L’encuvement de la tourelle n°4, aujourd’hui partiellement noyé
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La cuve sur dans laquelle une tourelle était installée
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Le socle prévu pour le pivot de la tourelle n°1
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Embrasure de la tourelle
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Détail du Front Todt de la casemate n°1
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Trou d’homme aménagé par les Allemands sur le périmètre défensif
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Vue générale de la tourelle
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Talus empierré protégeant l’une des positions de Flak moyenne
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Position défensive aménagée dans le sous-bois par les Allemands
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L’un des bunkers d’infanterie qui défendaient le périmètre de la batterie
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L’entrée du poste de conduite de tir secondaire de la batterie
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Entrée d’un bunker de Flak dans le périmètre de la batterie
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Ce bunker abritait une partie des transmissions de la batterie VARA
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L’embrasure du Poste de conduite de tir secondaire de la batterie – Vue extérieure
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Embrasure du poste d’observation
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Le poste de conduite de tir secondaire de la batterie
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La batterie VARA domine l’entrée du fjord de Kristiansand, à la pointe sud de la Norvège
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L’un des baraquements qui subsitent encore à l’intérieur du périmètre de la batterie
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Deux obus léger de 495 kg – Portée 55 kilomètres – sur un wagonnet
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Obus de 495 kg pour le tir à longue portée sur un wagonnet dans le couloir du bunker de la tourelle n°2
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Des obus de 38 cm déposés dans une soute de la tourelle n°2
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Obus standard de 38 cm dans l’une des soutes de la tourelle n°2 – Poids 800 kg pièce
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Les gargousses étaient stockées dans des conteneurs en acier
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Des obus standards de 800 kg dans la soute de la tourelle n°2
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Un obus de 38 cm est déposé sur la table de chargement – Le projectile pèse 800 kg
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Obus et charge ainsi que douille de 380 mm
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Deux obus de 380 mm
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Une gargousse de 104 kg prête à l’emploi dans la soute de la tourelle n°2
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Une douille de 38 cm de la Batterie VARA
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Wagonnets servant au transport de la munition
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La pince à obus au repos sur la table de chargement
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Détail du palan de levage utilisé pour soulever les énormes obus de 38 cm
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Détail de la pince à obus utilisée pour le transport des obus de 800 kg
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Le rail plafonnier fait le tour de la soute et permet de déposer directement les obus sur la table de chargement
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Monorail plafonnier reliant le couloir central du bunker aux soutes à munitions
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Détail du monorail facilitant le transit des munitions
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Obus de 380 mm
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Les wagonnets chargés de munitions pénétraient directement dans le bunker des tourelles
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Détal d’un charriot à munitions dans le couloir ceinturant la cuve de la tourelle
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Le blason de la Batterie VARA
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Culasse du canon de 380 mm
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Culasse du canon de 380 mm
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Culasse du canon de 380 mm
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Culasse
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Culasse du canon de 380 mm
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Différentes inscriptions sur la cualsse
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Matériel nettoyage servant au nettoyage du tube
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Moteur de rotation de latourelle
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La salle des machines du bunker de la tourelle n°2
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L’usine électrique de la tourelle n°2
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Le pont roulant dans la salle des machines de la tourelle n°2
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Le système de ventilation du bunker de la tourelle n°2
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Réservoirs de fuel de la tourelle n°2.Chacun d’eux a une capacité de 1300 litres
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Groupe électrogène
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Le groupe électrogène principal de la tourelle n°2
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Le groupe électrogène secondaire de la tourelle n°2
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T.V.R Sch C-37 dans le bunker de la tourelle n°2
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Le tableau commandant la porte anti-feu de la table de chargement
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Le bunker de la tourelle n°2 abrite encore du matériel allemand d’origine
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Le bunker de la tourelle n°2 renferme encore du matériel allemand
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T.V.R Sch C-37 présenté dans le bunker de la tourelle n°2
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La salle radio du bunker de la tourelle n°2
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L’une des chambrée dans le bunker de la tourelle n°2
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Chambrée dans le bunker de la tourelle n°2
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L’Allemagne doit vivre, proclame cette inscription dans le bunker n°2
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Uniformes de la Wehrmacht présentés dans le bunker de la tourelle n°2
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Uniformes de la Wehrmacht dans le bunker de la tourelle n°2
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Voilà ce qui restait en 2010 du poste de conduite de tir secondaire